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Fabrice Retailleau


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  • Google Secrets

    Google rachète les bonnes idées

    Comment Google rachète les bonnes idées de ses salariés...

    En trois mois, Google a racheté trois start-up fondées par d'anciens collaborateurs. Une pratique qui colle bien à sa stratégie, et qui lui permet de traquer l'innovation là où elle se trouve. Qui seront les prochaines cibles ? Quelques pistes.

    Google a racheté cette semaine reMail, un moteur de recherche dans le contenu des emails pour mobile. La start-up avait été créée par un ancien ingénieur de Google. Après Appjet et Aardvark, c'est la troisième start-up fondée par d'anciens salariés que Google reprend en trois mois. Un opportunisme qui se transforme en stratégie ?

    Le "spin-in" s'inscrit dans le modèle de Google

    "Cela s'inscrit totalement dans la logique de Google", analyse Bernard Girard, consultant en management et auteur d'un ouvrage consacré au modèle Google*. "On est dans un univers où il y a énormément d'innovation, et cette innovation coûte très cher. Google a mis en place un dispositif pour innover, qui consiste notamment à réserver 20% du temps de travail des ingénieurs et des développeurs à leurs recherches personnelles. L'autre solution, racheter des entreprises, leur coûte beaucoup moins cher." Avec un autre avantage, ajoute Bernard Girard : en rachetant des start-up fondées par d'anciens salariés, cela encourage ceux qui sont restés.

    Ainsi tout le monde est gagnant. On pourrait penser, au contraire, que c'est un constat d'échec pour Google, qui ne parvient pas à faire naître les idées de ses salariés en son sein, et se retrouve obligé de payer pour les récupérer. Ce n'est pas le cas, pour Bernard Girard. "L'entreprise laisse forcément passer des bonnes idées. Mais une des forces de Google, c'est de savoir revenir sur ses erreurs. De plus, ce qui l'intéresse, c'est toute la connaissance qu'elle rachète en même temps que les start-up." Dans tous les cas, Google ne procède pas à ces acquisitions pour acheter de la part de marché ou tuer la concurrence, mais pour ajouter une brique supplémentaire à ses services.

    Du côté des anciens salariés, c'est également la bonne pioche. Ils ont eu le temps de préparer leur projet chez Google, y ont pour certains fait fortune, ce qui leur a permis de lancer leur affaire. Leur ancienne entreprise se substitue ensuite aux fonds de capital-risque. Ils prennent ainsi moins de risques, et peuvent se concentrer sur leur produit et leur business.

    Cette pratique qui consiste à racheter les entreprises de ses anciens salariés porte un nom, le "spin-in", par opposition au "spin-off" ou essaimage. Elle aurait été popularisée par Cisco. Alors, peut-on s'attendre à d'autres rachats du même type ? En tout cas, il n'y a pas que Google qui s'y intéresse puisque rappelons que Friendfeed, racheté par Facebook, a été fondé par quatre anciens de Google.

    Qui sont les prochaines start-up sur la liste ?

    Sans être devin, on peut déjà pointer du doigt un certain nombre de start-up créées par d'anciens "Googlers", repérées par l'incubateur Gaebler Ventures et le blog Giga OM, vers lesquelles les regards vont se tourner. A suivre tout particulièrement : Felicis Venture, une société fondée par un ancien de Google qui conseille et trouve des investisseurs pour les start-up. Dans son portefeuille figuraient... Appjet et Aardvark. Ainsi que Mixer Labs, racheté par Twitter. A son portfolio on trouve encore le prometteur Tapulous (jeux sociaux pour iPhone).

    Cuil: un moteur de recherché qui organise les résultats par thématique et par colonnes, et propose d'élargir la thématique de la recherche à des thèmes connexes.
    Dasient: développe des solutions de sécurité contre les logiciels malveillants.
    Ooyala: une plateforme de publication, de monétisation et d'analytics pour la vidéo en ligne.
    DoApp: une plateforme de création d'applications mobiles, qui propose aussi un réseau de publicité sur mobile.
    Imo: messagerie instantanée, chat vidéo et vocal sur Internet, compatible avec tous les grands services de messagerie instantanée (Skype, MSN, Google Talk...).
    Red Beacon et Thumbtack : places de marché pour services locaux.
    MyLikes: service publicitaire de billets et de tweets sponsorisés.
    Chai Labs: contenu et plateforme communautaire pour les éditeurs de sites web.
    Brizzly: client Twitter et Facebook.
    ChartBeat: web analytics en temps réel.

    *Une révolution du management: le modèle Google, MM2 Editions, 2006

    Libellés :

    Google rachète les bonnes idées - dimanche 28 février 2010 -

    L'amour le trouve grâce à Google

    Un employé de Microsoft a déclaré sa flamme à Google : grâce au moteur de recherche, une jeune fille est tombée sur son blog et de fil en aiguille, est devenue sa petite amie

    Rory Blyth a fait une grande déclaration d'amour à Google. Il doit beaucoup au moteur de recherches. Dans un long billet publié sur son blog Neopoleon, il raconte comment le moteur de recherche lui a permis de trouver l'amour.

    Grâce à ses liens, Rory a la chance de voir son blog Neopoleon apparaître en premier lorsque l'on cherche son prénom sur Google. C'est donc l'importance de son PageRank, qui a amené un jour une fille à cliquer sur son site alors qu'elle cherchait le mot "Rory". Elle a aimé le blog, y est revenue régulièrement, a commencé à y poster des commentaires, il lui a répondu, ils ont commencé à s'écrire des mails, à échanger par chat... jusqu'à ce qu'il décide de la rencontrer.

    Aimer Google, même en travaillant chez Microsoft

    Le billet sur lequel Rory raconte cette belle histoire est drôle et bien écrit. Il se vante avec espièglerie de son classement dans Google, il s'amuse des craintes de son entourage (et de celui de la jeune fille) qui apprennent qu'il va traverser les Etats-Unis pour rencontrer quelqu'un à qui il n'a jamais fait qu'écrire. Et se permet une conclusion toute simple, par une photo qui dissipe les craintes : non, il n'est pas un sadique armé d'une hache, non elle n'est pas un 'nerd' se faisant passer pour une jolie fille. Et oui, à partir d'une recherche Google, Rory a trouvé l'amour.

    Son histoire a suscité des centaines de commentaires enthousiastes, surtout depuis que le blogueur influent Robert Scoble a publié un lien vers son billet. Robert Scoble l'a sans doute trouvé parce qu'il est un ancien employé de Microsoft, l'entreprise pour laquelle Rory travaille. Aujourd'hui, il travaille toujours pour la firme de Redmond, mais il a de bonnes raisons de déclarer sa flamme à son plus gros concurrent. Un concurrent qui est fier de cette histoire : dans les commentaires, Matt Cutt, employé de Google, remercie Rory pour "avoir accepté d'être le Rory numéro 1 dans notre classement".

    Le Page Rank ?

    La Page Rank est un classement effectué grâce un algorithme qui détermine l'importance des pages et par conséquent leur classement dans les résultats effectués par Google. Il est l'un des facteurs qui a permis à Google d'être plus précis que ses concurrents et de gagner en popularité. Le Page Rank repose sur plusieurs facteurs. En résumé, Google analyse non seulement la pertinence d'une page par rapport à une requête, mais également sa popularité, en regardant combien de sites pointent vers ladite page. Ainsi, le blog de Rory Smith avait déjà un bon Page Rank, et celui-ci devrait être encore meilleur, puisqu'il a été "lié" par Robert Scoble, lui même "lié" par de très nombreux sites.

    Auteur : Christophe ABRIC
    Source : LCI

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    L'amour le trouve grâce à Google - vendredi 10 août 2007 -

    Google est-il dangereux ?

    Les réponses de Kevin Bankston de l'Electronic Frontier Foundation, un organisme qui veille sur les droits numériques des consommateurs américains...

    Google représente-t-il un danger ?

    Kevin Bankston : Les libertés sont gravement menacées par la capacité de Google d'accumuler un nombre massif de données sur les internautes. Google enregistre et stocke pour un temps indéterminé l'ensemble des activités de ses utilisateurs. Ces données permettent de créer les portraits individuels les plus détaillés jamais conçus. Grâce à l'historique de vos recherches, Google connaît vos habitudes et vos intentions d'achat, votre appartenance religieuse, vos idées politiques, vos amis. Et la compagnie a carte blanche sur la manière dont elle contrôle ces renseignements très personnels.

    On prête en général à Google de bonnes intentions. Qu'en pensez-vous ?

    Les gens de Google essaient d'appliquer leur principe de base qui est « Ne faisons pas le mal ». Il est difficile d'adhérer à ce credo lorsque vous êtes une entreprise avec des actionnaires à satisfaire. Pour servir toujours mieux les utilisateurs, Google doit collecter de plus en plus de renseignements sur eux. Son modèle commercial est fondé sur l'observation des internautes. C'est dangereux. Depuis l'adoption du Patriot Act, n'importe quelle agence gouvernementale peut s'emparer de ces renseignements dans le plus grand secret.

    Quelles sont les solutions ?

    Lorsque Google est attaqué sur ces sujets, la compagnie répond : « Faites-nous confiance, nous protégeons vos données. » Mais rien dans ses conditions d'utilisation ou sa politique de confidentialité ne garantit une telle protection. Nous avons besoin de mettre nos lois à jour et les utilisateurs doivent demander des garanties empêchant Google de stocker leurs données. Je conseille aux internautes d'éviter d'utiliser les services de Google comme Gmail, la barre d'outils, Orkut ou le Blogger. Ou bien qu'ils suppriment les cookies et masquent leur adresse IP après chaque session

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    Google est-il dangereux ? - samedi 17 mars 2007 -

    Peu de gens savent ...

    Peu de gens savent ce que Google sait sur eux...Plus des trois quarts des internautes ne savent pas que Google enregistre et stocke de l'information à leur sujet quand ils font des recherches.

    C'est ce que révèle un sondage mené par le Ponemon Institute, qui a sondé un millier d'internautes dans la foulée de la querelle entre Google et le département américain de la Justice.

    Google enregistre en effet l'adresse IP des internautes et installe un témoin (cookie) qui expire en 2038. Google dit utiliser ces témoins pour «améliorer la qualité de [ses] services et pour mieux comprendre comment les utilisateurs interagissent avec [eux]».

    Le géant de la recherche a récemment commencé à intégrer des fonctionnalités qui permettent d'enregistrer les historiques de recherche, les habitudes de magasinage et les contacts des internautes. Google avait au départ promis de ne pas lier son moteur de recherche et son service de courriel.

    Il n'existe pas de façon pour un utilisateur de faire effacer les informations que Google garde sur lui.

    Le PDG de la compagnie, Eric Schmidt, a toutefois affirmé récemment que la compagnie se dirigeait vers un moteur de recherche qui «en sait davantage sur vous».

    Dans le sondage réalisé par le Ponemon Institute, 56% des utilisateurs ont affirmé que Google ne devrait pas fournir l'information demandée par le gouvernement américain. Seulement 14% des personnes interrogées ont affirmé qu'elles seraient favorables à ce que Google fournisse ces informations.

    Libellés : , ,

    Peu de gens savent ... - vendredi 9 février 2007 -

    L'hégémonie de Google

    Un tuyau de plus, souvent branché par les mêmes sociétés qui apportent eau, téléphone ou télévision : la Toile d'Internet ne suscite plus ni grandes angoisses ni envolées lyriques. Tout est là, à portée de souris, dans les mémoires gigantesques des moteurs de recherche...

    Internet, avec ses milliards de pages, est souvent décrit comme la plus complète des encyclopédies : une incomparable documentation mise gracieusement à notre disposition, et des outils qui savent répondre dans la seconde à la moindre de nos interrogations. Les moteurs de recherche sont si performants qu'il suffit de quelques mots épars pour retrouver une information quand la mémoire nous fait défaut.

    Google : le moteur de recherche le plus employé au monde

    Ces outils incontournables sont, paradoxalement, de moins en moins nombreux : seules 4 entreprises américaines parviennent encore à proposer à un public mondial un service de qualité. Avant de prétendre aiguiller l'internaute dans un volume de données sans cesse croissant, il faut en effet pouvoir mobiliser des milliers d'ordinateurs pour parcourir la Toile et répertorier l'information disponible. Mais il faut surtout savoir en extraire les pages les plus pertinentes. C'est cette capacité, l'« intelligence » du moteur de recherche, qui en fera ou non le succès. Google l'a prouvé, en devenant en moins de 3 ans le moteur de recherche le plus employé au monde : son approche novatrice lui permettait en général de proposer, dès la première page de résultats, l'information recherchée.

    Le bouche-à-oreille fut immédiat : les initiés encourageaient leurs amis à utiliser ce moteur « génial », et Google allait passer de 10 000 requêtes par jour, début 1999, à plus de 200 millions au printemps 2003 : 53 % des requêtes mondiales lui sont désormais confiées, au point que nombre de ses 70 millions d'utilisateurs en viennent à assimiler l'Internet tout entier à cet incomparable outil.

    Google est insensiblement devenu synonyme de moteur de recherche

    En effet, Google a réussi en 6 ans seulement, à asseoir sa marque et à en faire un synonyme de "recherche sur le Web". "Googler" n'est-il pas devenu un verbe aux Etats-Unis ? Combien de personnes se posent-elles la question avant d'effectuer une investigation sur le Web au sujet du choix du moteur à utiliser ? On va sur Google, un point c'est tout... Comme on dit "frigidaire" pour "réfrigérateur", "mobylette" pour "motocyclette" (pour l'anecdote, il existe de nombreux autres exemples de ce type : delco, klaxon, poubelle, piña colada ou macadam), Google est devenu une évidence. Il peut, dans ce sens, être qualifié d'antonomase, "figure de style par laquelle [...] un nom propre est pris pour un nom commun", nous apprend le Larousse.

    La tâche de ses concurrents devient alors doublement plus complexe : il faut non seulement aux Yahoo!, MSN et consorts être au moins aussi pertinents que Google, mais surtout briser les habitudes des internautes. Et cela risque d'être beaucoup plus long à venir... Autrement dit, à qualité de pertinence égale (Yahoo! y est presque, MSN s'en rapproche), l'internaute lambda choisira Google. Parce qu'on lui a dit que c'était bien. Mais aussi parce que c'est bien :-). Et surtout parce que peu de choses - ou de gens - l'incitent à se poser la question. Dans ce sens, les concurrents du leader actuel n'ont-ils pas fait fausse route en proposant des pages de résultats clonées sur celles de Google ? Qui va se détacher de ce moteur s'il a le sentiment de ne pas trouver mieux ou différent ailleurs ?

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    L'hégémonie de Google - samedi 11 novembre 2006 -

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